« La balle est dans le camp » de lUkraine, dit Poutine

Publié le 21 novembre 2025 à 11h30, modifié le 22 novembre 2025 à 11h Le Monde Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite vendredi à Varsovie pour rencontrer pour la première fois son homologue polonais Karol Nawrocki, a à lui averti qu’en cas de défaite de l’Ukraine, la Russie s’en prendrait « inévitablement » à la Pologne voisine. Le président Poutine a en outre annoncé que la Russie pourrait « s’abstenir » de procéder à des frappes en profondeur en Ukraine le jour de la présidentielle si Kiev décidait qu’un tel scrutin aurait lieu. Nous ne nous considérons pas responsables de la mort des gens, parce que nous n’avons pas commencé cette guerre C’est ce qu’a estimé Vladimir Poutine, vendredi 19 décembre 2025, lors de sa conférence de presse annuelle, au Kremlin. Vladimir Poutine a répondu plusieurs heures aux questions de la population et des journalistes, vendredi 19 décembre 2025, depuis le Kremlin.

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• Dans les premières heures du 24 février, au cours d’une allocution, Vladimir Poutine annonce le lancement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie dans le but de « démilitariser et dénazifier » le pays, présentant cette attaque comme une « opération militaire spéciale ».
• En octobre 2015, à la suite de l’intervention russe en Syrie, la popularité de Vladimir Poutine augmente fortement en Irak,.
• Deux ans plus tard, il fait adopter par référendum la non-limitation des mandats présidentiels dans le temps, ce qui lui permettrait de se maintenir jusqu’en 2036 au pouvoir.
• « L’échange avec Donald Trump a permis d’éclairer ses intentions, et pour nous d’exprimer nos attentes », a affirmé le président français devant la presse à l’issue de réunions en visioconférence avec Volodymyr Zelensky.
• Si l’économie russe a résisté jusqu’ici face aux restrictions visant notamment ses exportations d’hydrocarbures, les difficultés qu’elle traverse s’expriment via des pénuries de main-d’œuvre, le coût prohibitif des crédits bancaires et la hausse des prix.

Selon une enquête d’opinion du centre indépendant Levada de mi-décembre, 21% des sondés souhaitent demander vendredi à Vladimir Poutine quand “l’opération militaire spéciale” en Ukraine, selon les termes en vigueur en Russie, prendra fin. Il a aussi eu un ton très dur envers les dirigeants européens, qu’il a qualifiés de “porcelets” (nouvelle fenêtre) qui ambitionnent de provoquer “l’effondrement” de la Russie. Daté du samedi 20 décembre Il a comparu en août pour des accusations d’« espionnage » qui pourraient lui valoir une condamnation beaucoup plus lourde. « Si la loi russe le permet, nous ferons tout notre possible », a-t-il ajouté.

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En déplacement au Kirghizistan, le président russe a déclaré que la Russie « cesserait les hostilités » si l’armée ukrainienne se retire des territoires revendiqués par Moscou. Le traducteur exprime, dans une tribune au « Monde », le sentiment de honte qu’il ressent après la capitulation des démocraties européennes face aux projets du président russe, mais aussi des Etats-Unis de Donald Trump. Outre-Atlantique, les États-Unis multiplient les tractations diplomatiques, avec en particulier une rencontre entre émissaires russes et américains à Miami ce week-end, en vue de préparer un plan pour l’Ukraine. Le président russe a consacré de longs moments de ce rendez-vous, qui a duré plus de quatre heures, à évoquer l’offensive en Ukraine, déclenchée en février 2022.

Le politologue russe Stanislav Belkovski affirme en 2007 que Poutine est l’homme le plus riche d’Europe et qu’il possède 40 milliards de dollars en actions de compagnies de gaz (4,5 % de Gazprom) et de pétrole (50 % de Gunvor). Ces crimes de guerres concernent en l’occurrence l’enlèvement, la déportation, le transfert et l’adoption forcés d’enfants ukrainiens. De nombreux journalistes critiques du régime et de son président ont été assassinés, sans que leurs assassinats soient clairement élucidés, tels que ceux de Paul Klebnikov, Anna Politkovskaïa, Stanislav Markelov ou Natalia Estemirova. Ce mouvement regroupe des courants politiques hétéroclites, dont des libéraux, L’Autre Russie ou jusque 2006 le Parti national-bolchévique.

Une pratique verticale du pouvoir

D’après le média allemand Correctiv, ce scandale aurait été inventé de toutes pièces par Vladimir Poutine et lui aurait permis de mettre la main sur le système judiciaire russe. Il occupe en parallèle, de mars à août 1999, un poste de secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie (Совет безопасности Российской Федерации). Vladimir Poutine devient ensuite (à partir de mai 1998) vice-directeur de l’administration présidentielle chargé de la gestion des relations avec les régions, toujours avec une importante influence au sein du pouvoir. En mars 1997, il entre dans l’administration présidentielle (Администрация Президента Российской Федерации) pour en devenir chef adjoint, et devient en parallèle chargé du Département principal de contrôle (Главное контрольное управление президента Российской Федерации).

Le président des Etats-Unis a affirmé réagir aux déclarations de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, alors que ses tentatives de faire venir Vladimir Poutine à la table des négociations sur l’Ukraine sont au point mort. Le président américain nourrit depuis près de vingt ans une fascination manifeste pour son homologue russe, qu’il doit rencontrer lors d’un sommet consacré à l’Ukraine vendredi, en Alaska. Jeudi, à la veille du sommet entre les présidents américain et russe, sur la base militaire d’Elmendorf-Richardson, des manifestants ont exprimé leur soutien à l’Ukraine. Un accord de paix maintenant « dépend vraiment de Volodymyr Zelensky », a déclaré le président américain sur poutine aux crevettes la chaîne Fox News après l’entretien avec son homologue russe, qui n’a débouché sur aucune annonce concrète. Incapable de contraindre son homologue russe, le président américain met la pression sur les Ukrainiens et les Européens dans le règlement du conflit.

Alors qu’il approche du terme de son deuxième mandat présidentiel, Vladimir Poutine déclare à plusieurs reprises ne pas avoir l’intention de demander une modification de la Constitution afin de briguer un troisième mandat consécutif en mars 2008. Lors du sommet de l’OTAN à Bucarest en avril 2008, invité pour discuter de l’autorisation du transport logistique de matériel non militaire sur le sol russe, Vladimir Poutine a déclaré que l’élargissement de l’OTAN aux ex-républiques soviétiques d’Ukraine et de Géorgie constituait une menace pour la Russie. Face aux changements de la donne géostratégique en Europe apportés par les États-Unis, la Russie suspend l’application du Traité sur les forces conventionnelles en Europe, le 12 décembre 2007, ce qui crée un remous au sein de l’OTAN et à Washington. Le soutien affiché de Poutine à son homologue américain dans sa « lutte contre le terrorisme » établit au début un climat d’une certaine cordialité et une nouvelle entente entre les deux puissances. La politique étrangère de Poutine lors de son premier mandat est dans la continuité de la politique de Eltsine.

La préparation d’une poutine prend généralement environ 30 minutes, incluant le temps de cuisson des frites et de la sauce. La poutine se mange à l’aide d’une fourchette pour profiter pleinement de l’association entre la sauce, les frites et le fromage chaud. Les ingrédients essentiels pour préparer une poutine sont des frites, du fromage en grains et une sauce brune. La poutine est un plat traditionnel québécois composé de frites croustillantes, de fromage en grains et d’une savoureuse sauce brune. La poutine est un plat emblématique du Québec, célèbre pour ses frites croustillantes, son fromage en grains fondant et sa délicieuse sauce brune.

Où manger la meilleure Poutine de Montréal, au Québec ?

À partir de 2005, une partie de l’opposition se regroupe à plusieurs reprises pour organiser des manifestations, telles que La Marche du désaccord, Stratégie-31, Poutine doit partir, auxquelles cependant les partis les plus importants de l’opposition à la Douma (Parti communiste, Rodina, LDPR), ne participent pas. Les associations de défense des droits de l’homme, dont, en Russie, Memorial, fondée par Andreï Sakharov, de même qu’une minorité d’opposants, estiment que l’État de droit est menacé dans le pays et dénoncent l’autocensure des médias. Pour le journal Vedomosti, « le niveau croissant de la criminalité et du nombre de verdicts bizarres et étrangement cléments ne font que renforcer le sentiment d’injustice au sein de la société russe ». Vladimir Poutine est nommé personnalité de l’année selon le Time en 2007, chose controversée du fait de l’assassinat en 2006 à Londres d’Alexandre Litvinenko, que plusieurs journalistes et enquêteurs britanniques imputent au pouvoir russe.